Dentro del libro

Páginas seleccionadas

Otras ediciones - Ver todas

Términos y frases comunes

Pasajes populares

Página 58 - Mais quand même je vivrais encore quelque temps, il ya dans le pays des chefs plus puissants que moi ; ils ne sont pas actuellement dans la contrée où vous avez abordé ; mais s'ils viennent, ils auront peu de ménagement pour des étrangers. » Ensuite il fit appareiller leur navire et resta là jusqu'à ce qu'il s'élevât un vent favorable pour partir. Mais avant de les quitter, il...
Página 390 - Les sauvages de ces îles sont les plus contents, les plus heureux, les moins vicieux, les plus sociables, les moins contrefaits et les moins tourmentés de maladies, de toutes les nations du monde.
Página 85 - Markland (pays plat et boisé) ; il regagna ensuite la grande mer, et après avoir navigué deux jours dans la direction du sud-ouest, il arriva dans le Vinland , où il ne gela pas , où l'herbe resta verte et où le bétail continua à pâturer pendant l'hiver. Mais ce qui est plus caractéristique, c'est que la longueur des nuits et des jours était plus égale que dans le Grœnland et en Islande; pendant les jours les plus courts, le soleil restait sur l'horizon depuis sept heures et demie du...
Página 133 - Humboldt (3) qu'elle se présente pour la première fois appuyée sur un ensemble de faits et de considérations qui lui donnent une valeur scientifique. « La communication entre les deux mondes , dit Humboldt , se manifeste d'une manière indubitable dans les cosmogonies , les monuments , les hiéroglyphes et les institutions des peuples de l'Amérique et de l'Asie.
Página 70 - Il ya un grand nombre d'autres îles ' dans l'Océan, au nord de la Bretagne. Les vaisseaux voguant à pleines voiles et poussés par un vent toujours favorable emploient deux jours et deux nuits pour s'y rendre des îles septentrionales de la Bretagne.
Página 273 - Nauegando vna carauela por nuestro mar oçeano tuuo tan forçoso viento de leuante : y ta côtinuo que fue a parar en tierra no sabida ni puesta nel mapa, o carta de marear. Boluio de ella, en muchos mas dias, que fue. Y quando aca llego no traya mas de al piloto ya otros tres o quatro marincros, que como venian enfermos de hambre y de trabajo : se murierô dentro de poco tiempo, e nel puerto.
Página 61 - XIII° siècle, fragments de sagas islandaises, traduits pour la première fois en français par E. Beauvois, dans Revue orientale et américaine, Paris, in-8°, ann. 1859 ; tirage à part, Paris 1859, p. 55-65. Outre les introductions des éditions et recueils susmentionnés, voy. sur cette saga : PE Mùller, Saga Bibliothek, Copenh.
Página 108 - En un mot, toute l'île est bien arrosée d'eaux douces qui contribuent non-seulement au plaisir des habitants, mais encore à leur santé et à leur force. La chasse leur fournit nombre d'animaux divers, et leur procure des repas succulents et somptueux. La mer qui baigne cette île renferme une multitude de poissons, car l'Océan est naturellement très-poissonneux.
Página 397 - ont trouvées), dans les antres des rochers qui sont sur le » bord de la mer, afin que les pères les fissent voir à leurs » enfans, et, successivement, à tous les autres qui descen
Página 273 - Solamente concuerdan todos en que f allesció aquel piloto en casa de Cristóbal Colón, en cuyo poder quedaron las escripturas de la carabela y la relación de todo aquel luengo viaje, con la marca y altura de las tierras nuevamente vistas y halladas.

Información bibliográfica