Historia de Portugal: desde a fundacão da monarchia até a revolução de 1820, Volumen5

Portada
Escriptorio da Empreza Editora, 1902
 

Páginas seleccionadas

Pasajes populares

Página 667 - ... faire remarquer ici la réelle supériorité de la science des cosmographes portugais alors que, pour la route de l'Inde, ils donnaient la préférence à celle du Sud et de l'Orient sur celle de la mer occidentale, en dépit de l'opinion de Toscanelli et de la cosmographie commune à cette époque (4) et tandis que Colomb croyait avoir découvert les côtes indiennes par cette dernière route. Je citerai également quelques donations faites à des navigateurs portugais, donations qui prouvent...
Página 684 - ... Comme le dit ce grand homme : « C'est ce triple caractère d'instruction, d'audace et de longue patience que nous avons à signaler surtout dans Christophe Colomb. Au commencement d'une ère nouvelle , sur la limite incertaine où se confondent le moyen âge et les temps modernes, cette grande figure domine le siècle dont il a reçu le mouvement et qu'il vivifie à son tour.
Página 667 - ... où naissent les épiceries (2) ». Différents faits prouvent que l'on ne s'arrêta point dans ces tentatives, et il existe même une tradition, comme nous le verrons plus loin, suivant laquelle on aurait, dans l'une de ces tentatives, découvert l'Amérique du Nord (3). Je ne puis m'empêcher de faire remarquer ici la réelle supériorité de la science des cosmographes portugais alors que, pour la route de l'Inde, ils donnaient la préférence à celle du Sud et de l'Orient sur celle de la...
Página 667 - ... d'Afrique avait déjà été explorée jusqu'au delà du cap Bogador exclusivement par les Portugais, et même plus loin que Sierra Leone, et que 51 caravelles portugaises avaient déjà, jusqu'à l'année 1446, exploré toute cette côte découverte par 62 des principaux navigateurs portugais (2). Si l'astrolabe, les tables de déclinaison solaire et autres progrès ne s'étaient pas encore réalisés, comme le supposent quelques-uns, il est hors de doute qu'ils étaient déjà à la veille...
Página 742 - De sandeu. Pentear e jejuar, Todo dia sem comer, Cantar e sempre tanger, Suspirar e bocejar : Sempre anda falando so, Faz hüas trovas tam frias, Tam sem graça, tam vazias, Qu'he cousa pera haver dó.
Página 610 - Henriques, que fizera esse letrado in utroquejure bispo do Porto e depois arcebispo de Braga. Mas ainda então o direito se não emancipara dos cânones, nem os doutores tinham saído da Egreja, nem as escolas dos claustros. Sob a égide religiosa, balbuciava o pensamento secular. Toda a sociedade se resumia no dualismo da cruz e da espada : ainda se não pensava que, ao lado dos sagrados cânones, se levantariam as letras profanas para transformar, no império dos povos, a espada do guerreiro em...
Página 684 - ... Toscanelli sur la découverte de l'Inde par l'Ouest , ce qu'avait fait déjà Alfonse V, on ne peut pas conclure qu'il n'eût pas reçu l'information rapportée par Gomara et d'autres, que même cette information pratique n'eût pas confirmé l'information théorique de Toscanelli, et ne l'eût fortifié dans ses désirs. Je ne discute pas la constante prévention qui aurait pour but de faire croire que l'histoire du pilote ne fut inventée que pour amoindrir le mérite de Colomb , mais on doit...
Página 649 - Rey de muy alto, esforçado e sofrido coraçam, que lhe fazia sospirar por grandes, e estranhas empresas; polo qual com quanto seu corpo pessoalmente em seus Regnos andasse polos bem reger como fazia, porem seu esprito sempre andava fora delles, com desejo de os acrecentar.
Página 54 - ... directamente na conjuração contra a pessoa d'el-rei D. José;... era possivel que elles tivessem fallado com demasiada liberdade contra o governo, e por conseguinte contra el-rei... elles haviam relatado por escripto ao seu geral quanto se havia passado em Lisboa com mais liberdade do que deviam, e que o governo havendo interceptado as cartas, no contexto d'ellas achou, segundo o seu entender, principios contrarios á obediencia, que elles deviam ao soberano.
Página 743 - ... está a Ama com um rascão, chamado Lemos, e manda a moça fora comprar de comer. De repente acode a moça esbaforida, contando que vira o marido da Ama, que era chegado da India; esta fica enfurecida e tem logo uma ideia luminosa: Quebra-me aquellas tigellas E trez ou quatro paucllas, Que níío ache que comer.

Información bibliográfica